dimanche 5 août 2007

Bruno Martin lit "Gala"




Le Cap Brun, le 3 août 2007



Bruno Martin, 35 ans, chef d'entreprise. Vit à Paris (3e)







En vacances dans le Sud... Au bord de la piscine, dans l'herbe, ou autour du petit-déjeuner de 14h30, ça lit beaucoup autour de moi. Enfin... ça lit, ou ça regarde des images... Bruno Martin, un ami généralement plutôt plongé dans des pavés d'histoire politique type "Configuration socio-cultuelle du Rwanda de 1993 à 1995", s'est fait surprendre en pleine lecture honteuse!



Qu'est-ce que tu lis?

"Gala", numéro du 1er août 2007.







Une phrase que tu aimes dans ce magazine :

Putain, y en a tellement! Voilà : "Je suis à nouveau amoureux, grâce à Dieu". C'est magnifique. C'est de Benjamin Castaldi.



Pourquoi ce magazine?


Je lis Gala dans le cadre de mes affaires, car aujourd'hui, il n'y a pas de valeur en dehors de l'information... Le pouvoir, c'est le savoir. Je lis Gala trois fois par an, chez le coiffeur et en vacances ici au Cap Brun.




Comment ce "Gala" est il arrivé entre tes mains?

Peut-on réellement croire au hasard? Pendant que moi, je venais de Paris vers Toulon, lui-même, ce magazine, suivait son propre chemin jusqu'à moi, suivant sa propre destinée. Quand on pense à la probabilité qu'on avait de se rencontrer! Il y avait une chance sur un milliard... Certains appellent ça un miracle, d'autres, le destin.



Qu'est-ce que cela te fait de lire dans cette chaise longue, sur la terrasse de ta maison?

Ca donne le sentiment d'avoir trouvé sa juste place au sein du cosmos. Par sphères successives, quoi.


Et maintenant, qu'en penses-tu, de ce magazine?

C'est une petite déception. Je lis ça depuis un quart d'heure et même pas une petite érection. Le Gala du salon de coiffure, lui, il m'en donne. Ou alors c'est la coiffeuse.


Quel est ton livre préféré?

Les mémoires de Churchill. (NDLR : il y a 14 tomes de ces mémoires...)


Maintenant, fais-moi une grimace inspirée par Gala!



Il faut vraiment que tu arrêtes de lire ça...



Et désormais, Bruno Martin, ce sera pour moi...


Un putain de poète. (Pardon les enfants).

4 commentaires:

Anonyme a dit…

si quelqu un retrouve mon livre perdu a l aeroport de barcelone (ou ds le vol barcelone/buenos aires), peut il me le laisser de cote le temps que je rentre (1er septembre). Il s agit du Capitaine Alatriste d Arturo Perez Reverte. C le premier de la saga alors j aimerai bien le retrouver pour pouvoir commencer les suivants.

merci a vous

julie

l'Aphoriste a dit…

Vu sur Twitter, l'annonce de ce blog... très bon concept! et les photos sont splendides. J'adorerais en faire d'aussi bonne qualité (technioque et visuelle...). Les sujets sont choisis de quelle façon?

Magda a dit…

Les sujets sont choisis au hasard des rencontres. Pas d'à priori!

Anonyme a dit…

trop bien!!!

à Tilcara, bled perdu ds la montagne de 3000 habitants à 100 km de la frontière bolivienne, j´ai trouvé ds l´auberge où je me prelasse le tome 2 des aventures du Capitaine Alatriste de Perez Reverte dt j´avais perdu le premier volume ds l´avion Barcelone- Buenos Aires!!! visiblement c un touriste de passage qui l´a oublié aussi. Bon, c´est en espagnol et j´avais mème pas fini le premier mais c´est toujours drôle à remarquer ces coincidences... faudrait le dire à l`auteur ( s´il est tjs vivant...).

julie